Cette semaine, en allant jeter un coup d’oeil à ses en-cours, l’ouvrière s’est dit que, quand même, elle exagérait un peu. Alors, pour ça oui, elle en a des en-cours, mais ce qui est (encore plus) scandaleux, c’est qu’elle ne daigne même pas vous montrer ce qui est fini !

Pfff, oui je sais, mais j’ai toujours la flemme de faire les photos après, le choix des accessoires, du lieu de pose, de la lumière, c’est dur ! Donc l’ouvrière repousse l’échéance le plus loin possible, et c’est comme ça qu’au bout d’1 mois de 2 semaines, son blog est complètement laissé à l’abandon. Hum. Chaque fois c’est pareil.

Si je devais prendre une bonne résolution cette année, ce serait de mettre mon blog à jour au moins une fois par semaine, et ce serait déjà pas mal dans mon cas.

So so aujourd’hui, ce sont des bijoux qui sont à l’honneur, c’est bien pratique quand on n’a rien posté depuis un moment, parce que les bijoux, ça s’avère assez rapide à faire quand on tricote lentement comme moi !

Sautoirs fanfreluches et froufrous, matos la droguerie

Vous aurez aisément reconnu l’inspiration du sautoir, vu l’année dernière ici, j’avoue que l’idée m’avait vachement enthousiasmée quand je l’avais vu ! Et puis j’ai laissé passer les mois, le temps a changé et je suis passée à autre chose (comme d’hab). Et puis, l’été a tardé à revenir, d’ailleurs je ne suis toujours pas sûre que ce soit le cas à Paris, m’enfin, maintenant j’ai mon collier à pompons pour mettre un peu de soleil dans ma vie ! Le mini collier avec le noeud bleu accompagne le sautoir, c’est très fille quoi !

La première fois que je suis venue au boulot avec mes nouveaux colliers, j’ai eu droit a des réactions fort différentes, mais celle que je retiens le plus vient d’une de mes collègues (au passage, c’est la même à qui j’ai fait le sautoir-cage, et elle était ravie ! Pfff, c’t’ingrate, voilà comme on est remerciée !) : « Oh c’est marrant, tes pompons, on dirait les fanfreluches qu’on accroche sur les tapis. » Mmh, merci Charlotte !

M’en fiche, hier à la droguerie, une bonne femme l’a tellement adoré que j’ai bien cru qu’elle allait me l’arracher et s’enfuir en courant avec ! (après réflexion, finalement, je me demande si je ne préfère pas la remarque de ma collègue.)

Bon allez l’ouvrière, on ne se repose pas sur ses lauriers, tu as un autre article à préparer, n’oublie pas ta bonne résolution !