Aujourd’hui, attention ça va vous étonner, l’ouvrière ressort les fleurs… Mais bientôt, elle va revenir à des choses plus sérieuses, le tricot, la couture, tout ça tout ça… (même si les uns n’excluent pas les autres !)
Que je vous explique. À l’Atelier, l’ouvrière a entassé tout un tas de matos inutilisés, une sorte de rebut quoi, qui crie au désespoir chaque fois que l’ouvrière passe à proximité de son sac à bijoux, au point que ça l’empêche de dormir la nuit, c’est dire. L’ouvrière, ainsi harcelée, n’en pouvait plus, elle a décidé qu’il fallait faire quelque chose. Alors elle a réuni tous ses bouts de chaines et de biais liberty, a pris ses pinces de bricoleuse, et elle a réfléchi sur comment on transforme des restes épars en beaux bijoux (je peux vous dire que ce n’est pas si simple d’assortir tout ce petit monde, parce que le but c’est quand même de créér des bijoux que l’on va pouvoir porter…).
Au final, l’ouvrière s’en est sortie sans crise de nerfs ni massacres sanglants, elle a réussi la transformation. Les bouts de chaines et le liberty se sont tout de suite plus et se sont assortis à merveille, l’ouvrière n’a rien eu à réajuster. En fait, elle avait repéré un modèle de sautoir avec un noeud pap’ à la droguerie, mais bon, les sautoirs, mouais, bof, l’ouvrière n’est pas trop fan, elle a du mal avec ce concept. Elle ne sait jamais comment les porter et les assortir avec ses fringues. Alors qu’avec un bracelet, c’est top, c’est joli bras nus ou même avec un petit gilet (nan, c’est vrai quoi, vous aviez remarqué que les sautoirs avaient la taille d’un stade de foot ?…). Et là, l’ouvrière est contente, son bracelet lui va bien. C’est un vrai problème d’habitude parce qu’elle ne trouve jamais de bracelets à sa taille, elle a des poignets tout maigrichons, alors elle ne s’en achète que très rarement. Et, quand c’est le cas, ses bracelets veulent toujours se faire la malle dès que l’ouvrière baisse les bras…
Enfin bon, c’est bien mignon tout ça, mais pendant ce temps, l’ouvrière ne se tricote pas de laines douillettes pour survivre cet hiver, et elle a même la flemme n’a pas le temps de finir les tricots qu’elle destine à sa famille et à ses amis… Allez, hop hop hop, l’ouvrière va boucler son travail universitaire vite fait bien fait pour pouvoir faire sa tricopathe sans scrupules ! C’est encore les vacances, quand même ! ^^